Des décombres de Berlin aux gratte-ciels de Manhattan, des ravages de l’après-guerre à l’euphorie des années 1950. Dans le prolongement de « La Louve blanche », « Tous les rêves du monde » est pris dans les tourments de l’Histoire. Au cœur des mensonges et des égarements d’une génération maudite, quatre adolescents osent partir en quête de leur vérité tandis que Max et Xénia tentent de recoller les morceaux d’une histoire d’amour tourmentée. Pour tous, c’est du chaos que viendra la renaissance, du désordre que naîtra l’espoir.
1945, la Seconde Guerre mondiale prend fin, Berlin est en ruine. L’énigmatique Xenia Féodorovna Ossoline décide de rejoindre la capitale allemande, déterminée à retrouver Max von Passau, son amour de toujours. Elle retrouve un homme transformé par la guerre.
Pour les héritiers d’une Europe dévastée, c’est un cadeau empoisonné que leur a laissé leurs aînés. Axel cherche comment admettre que son père est un criminel nazi, tandis que Natacha découvre que son père n’est pas celui qu’elle croyait. Félix et Lili, les enfants de Sarah Selighson, disparue à Auschwitz, doivent ainsi faire face à la terrible réalité de la shoah.
Xénia parviendra-t-elle à réveiller Max de son apathie et le convaincre de la suivre ? Felix récupèrera-t-il le magasin familial réquisitionné par les nazis pendant la guerre ? Et sa sœur Lili, profondément marquée par la disparition de sa famille, finira-t-elle par comprendre le besoin qu’a son frère de reconstruire sa vie à l’endroit même où elle aurait pu s’arrêter ?
Theresa Révay est une écrivaine et traductrice française née en 1965. Suite à des études de lettres, elle se tourne vers la traduction de livres anglais et allemands.
Elle publie son premier livre « Valentine ou le temps des adieux » en 2002, suivi de « Livia Grandi ou le Souffle du destin » (2005) puis « La Louve Blanche » (2008). Elle connaît vite le succès et s’impose rapidement comme une des romancières majeures des fresques historiques. Passionnée d’Histoire, elle nous transporte dans l’intimité de grandes familles européennes devant faire face au contexte incertain du XXe siècle.
Traduite dans de nombreuses langues, certaines de ses œuvres lui valent de prestigieux prix comme le prix Historia en 2014 avec « L'Autre rive du Bosphore » ou encore le prix Simone Veil en 2017 avec « La vie ne danse qu'un instant ».
« Theresa Révay se révèle être une excellente technicienne du roman populaire, avec ce supplément d’âme qui fait la différence. » Le Nouvel Observateur
« Avec La Louve blanche, Theresa Révay signe une épopée cauchemardesque proprement captivante. » Le Figaro magazine
« Il y aura une suite. On l’attend avec impatience. » Madame Figaro
A travers la presse :
« Le nouveau roman de Theresa Révay entrelace la grande et la petite histoire avec un sens inné du romanesque. [
.] Avec cette vibrante fresque historique, le grand roman populaire retrouve ses lettres de noblesse. »
Femmes
« On est emporté par cette fresque bien documentée, à travers une période de l’histoire qui ne cesse de nous interroger. »
Prima
« Lauteur, qui naime rien tant que lespace, le mouvement, lentrecroisement des tissus sociaux et des époques, lenchevêtrement des chairs et des impairs, multiplie les surprises dans ce roman où tombent progressivement les masques de ses héros sans cesse secoués et ballotés par lHistoire. [
] Du grand roman populaire, cousu main. »
Le Figaro magazine
Theresa Révay a de la suite dans les idées et beaucoup de talent pour les exprimer. Elle noue et dénoue les destinées des héros de la Louve blanche, son précédent roman, sans laisser de répit à son lecteur, quelle transporte dun Paris grisâtre à un Berlin lugubre.”
Figaro Madame
« Theresa Révay entraîne le lecteur à sa suite. Elle bouleverse et fait revivre, avec un réel talent décrivain et une belle pudeur, les années suivant la libération. Un remarquable roman populaire qui réconcilie avec al littérature. »
Actualité de lHistoire
« Cest efficace, et nous touche pour sa sincérité, son sens du récit épique, et son habille agencement narratif. »
La voix du luxembourg
(PRESSE )