Dans ce deuxième volet de La Malédiction de l’anneau, une saga Fantasy s’inspirant de la mythologie et des légendes nordiques, Siegfried, héros libre et sans peur, est destiné à réveiller la Walkyrie Brunehilde de son profond sommeil. Mais il doit se mesurer à Fafnir, le dragon qui veille sur l’anneau et le trésor du Nibelung.

Le dragon Fafnir veille sur l’anneau maudit et le trésor des Nibelungen, convoités par les créatures des neufs mondes. Il est le dernier de sa race et il sait qu’il va mourir… Doué d’une sagesse ancestrale, Fafnir rêve le monde durant son sommeil, et lui donne forme. C’est ainsi qu’il va suivre la naissance, puis l’éducation du jeune Siegfried, descendant du dieu Odin, le maître d’Asgard.

« Celui-qui-vient » est élevé dans la Forêt de Fer parmi les loups, puis initié à la magie chamanique des métamorphoses et du langage obscur par le géant Regin, le frère de Fafnir. Siegfried est un être libre, qui ne connaît pas la peur et refuse toute forme d’autorité. Après avoir reforgé Notung, l’épée brisée de son père Siegmund, il quitte la Forêt de Fer et part dans le royaume des Burgondes afin de venger l’honneur de sa famille. Il tue Hunding, roi du Gotland et meurtrier de son père, puis Fafnir, avant de s’accaparer du trésor et de l’anneau. Il lui reste maintenant à aller réveiller Brunehilde, la Walkyrie endormie sur son rocher, qui doit l’initier à l’amour et aux secrets des runes. Mais Siegfried ignore que Kriemhilde, la princesse des Burgondes, est secrètement amoureuse de lui. Désormais porteur de l’anneau maudit des Nibelungen, il est également victime des sortilèges du bijou magique. Son amour pour Brunehilde y survivra-t-il ? Et parviendra-t-il à éviter le crépuscule des dieux ?

Né en 1954, Édouard Brasey est à la fois un romancier et un spécialiste réputé des contes, des légendes celtiques et nordiques et des univers imaginaires de la féerie et de la Fantasy, auxquels il a consacré plus de cinquante ouvrages.

Sa très remarquée Petite Encyclopédie du merveilleux (Le Pré aux Clercs) a été récompensée en 2006 par le prix spécial du jury du festival Imaginales d’Épinal et par le prix Claude-Seignolle de l’imagerie.

La Malédiction de l’anneau, saga romanesque en trois tomes dont le premier volet, Les Chants de la Walkyrie, a été récompensé par le Prix Merlin 2009, associe les thèmes de la Fantasy et des mythologies anciennes. Édouard Brasey dirige également les collections Fantasy au Pré aux Clercs.