Comptes-rendus du colloque « Heurs et malheurs de la filiation » organisé par l’Ardua et consacré à l’œuvre d’Amin Maalouf, œuvre qui incarne autant « la vertu de la tolérance » que « l’alliance de l’identité et l’acceptation de l’altérité ».
Amin Maalouf est fondamentalement un être transfrontalier, un être d’itinérance qui s’est convaincu que l’écriture demeure le plus sûr moyen de lier les hommes, les espaces et les temporalités les plus diverses voire les plus contradictoires.