Comptes-rendus du colloque « La chair et l’invisible » consacré à Éric-Emmanuel Schmitt et organisé par l’Ardua dont la problématique est celle-ci : au-delà de leur incontestable succès éditorial et international, les différents ouvrages d’Éric-Emmanuel Schmitt supportent-ils une relecture critique féconde ? – ou si l’on préfère – que reste-t-il de tous ces textes du haut de l’affiche, une fois que s’éteint le charme – au sens étymologique du mot – de la première lecture ?